Les féministes "progressistes" du 21ème siècle tenteraient de nous convaincre, encore aujourd'hui, qu'il est primordial pour l'émancipation des femmes, qu'elles participent massivement au marathon de Boston et autres joyeusetés sportives...
Cinquante ans après que Jock Semple eut tenté d’arracher son dossard numéro 261 en pleine course, Kathrine Switzer se rappelle encore la colère dans le visage du directeur du marathon de Boston.
Afin de ne pas ternir leur image d'éternelles victimes, désespérant d'interdire aux musulmanes de porter le voile ou de laisser sous le boisseau les statistiques montrant que les mères sont à 70% responsables des infanticides, ces mêmes féministes "progressistes" du 21ème siècle, haussent ostensiblement des épaules, quand on leur rappelle les écarts en matière d'espérance de vie...
Seulement...souvenez des discours des phallocrates d'il y a 50 ans :
Les femmes à la cuisine...?
...c'est "naturel" !
... ou "artificiel"
... ?
Quid des maladie genrées?
La santé de l’homme serait plus affectée par le célibat
Une rupture amoureuse, ça fait mal. Et quand elle est suivie d’une longue période de célibat, les effets sur la santé peuvent être dévastateurs. Face à ces aléas de la vie, l’homme serait davantage touché, au niveau de sa santé, que la femme, selon une étude danoise, publiée dans le Journal of Epidemiology & Community Health et repérée par Slate. Les chercheurs de l’université de Copenhague ont détecté des niveaux d’inflammation dans le sang plus importants chez les hommes seuls et ayant vécu plusieurs ruptures que chez les femmes dans la même situation.
Un champignon lié à des cas de maladie de Charcot : la fin d'une énigme médicale vieille de plus de dix ans
La consommation de fausses morilles est à l'origine d'une dizaine de cas de sclérose latérale amyotrophique dans un petit village de Savoie. Le résultat de dix années d'enquête.
... et qui possèdent tout à la fois le moyen, l'opportunité et très certainement un mobile pour empoisonner son mari...
...ou ses enfants...
...qui ?
Interrogation Of A Psychopathic Woman
https://youtu.be/JHUghbHqJpY
L'affaire des meurtres de la famille Staudte, également connue sous le nom de "meurtres à l'antigel", sont une série de meurtres et de tentatives de meurtre au sein de la famille Staudte de Springfield, Missouri, au cours d'une période de cinq mois en 2012.
La matriarche de la famille Diane Staudte et sa fille, Rachel Staudte, ont commis les crimes ensemble en utilisant de l'antigel acheté sur Internet, supposant que l'antigel vendu en ligne ne contiendrait pas l'agent amer ajouté dans les produits chimiques commerciaux et rendant le poison à l'éthylène glycol détectable.
Le mari de Diane, Mark Staudte, a été assassiné le premier, suivi cinq mois plus tard par son fils autiste de 26 ans, Shaun Staudte.
La fille de 24 ans, Sarah Staudte, avait également été empoisonnée à l'antigel, transportée à l'hôpital dans un état critique. Sarah a survécu à l'empoisonnement et s'est rétablie plus tard, mais avec des dommages physiques et neurologiques irréversibles.
En 2016, Diane Staudte a été condamnée à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle, tandis que Rachel Staudte a plaidé coupable de meurtre au deuxième degré en mai 2015 dans le cadre d'un accord de plaidoyer en échange du témoignage contre sa mère lors de son procès, finalement condamnée en Mars 2016 à la prison à vie avec possibilité de libération conditionnelle.
Fusillade dans une école primaire à Nashville : Une jeune femme lourdement armée tue 6 personnes dont 3 enfants
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AMERIQUEUne jeune femme de 28 ans armée de deux fusils d’assaut et d’un pistolet a ouvert le feu avant d’être abattue par la police
Nouveau drame des armes à feu aux Etats-Unis. Au moins six personnes dont trois enfants ont été tuées dans une fusillade survenue dans une école primaire privée de Nashville, lundi, selon la police. La suspecte, une jeune femme de 28 ans lourdement armée, a été abattue par les forces de l’ordre.
Pourquoi les meurtres d'enfants sont-ils majoritairement commis par des femmes?
CRIMINOLOGIESelon une étude de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), publiée ce mercredi, 70 % des condamnations pour homicide sur mineur de moins de 15 ans sont des femmes…
Du point de vue des probabilités, l'infanticide s'évère une "activité parentale" habituelle :
En 2011, les femmes effectuaient toujours l’essentiel des tâches domestiques – 64% du temps quotidien consacré aux tâches domestiques est pris en charge par la gent féminine, contre 69% il y a vingt-cinq ans – comme des activités parentales : 71%, contre 80% il y a vingt-cinq ans.
Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà...ou grossières manipulations partisanes ?
Au Canada, les pères sont plus susceptibles de tuer leurs enfants que les mères
Myrna Dawson, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les politiques publiques en matière de justice pénale, a analysé les données récoltées par Statistique Canada entre 1961, année où l'organisme gouvernemental a commencé à recueillir des chiffres sur les homicides, et 2011, année de la plus récente étude statistique à ce sujet.
Durant cette période, la plus longue à avoir jamais servi de référence pour une recherche de ce genre, au moins 1612 enfants âgés de moins de 18 ans ont été tués par leurs parents.
Dans l'ensemble de ces cas, 57 pour cent des accusés étaient des hommes....
Ces statistiques sur les infanticides resteront inacceptables pour les idéologues féministes comme Myrna Dawson, obsédées de féminicides (alors que les "hommes" restent évidemment l'immense majorité des victimes de meurtres!), prêtes à toutes les plus abjectes contorsions pour cacher lequel des genres se montre en réalité le plus nocif pour les enfants (les "accusés" ne disant toujours rien des "coupables"):
Une étude canadienne, menée en 2001 par le ministère de la Santé du gouvernement du Canada, utilisant la définition de l'OMS a permis d'obtenir les résultats suivants concernant les cas de maltraitances d'enfants en milieu familial et classe la violence physique à 31 %, l'abus sexuel à 10 %, les négligences à 40 % et la violence psychologique à 19 %. Les auteurs de l’ensemble de ces violences incluent la mère biologique à 61 %; le père biologique à 38 %, le beau-père à 9 %, la belle-mère à 3 %, la famille d’accueil à 1 % et les autres membres de la famille à 7 %
Sur le sol américain, le pourcentage d’infanticide représentait un taux de 1,62 pour 100 000. Les auteurs de ces infanticides se répartissaient comme suit : mère seule (32 %), père seul (11 %), les deux parents (21 %), mère avec une autre personne que le père (16 %), père avec une autre personne que la mère (1 %), autre membre de la famille (5 %), famille d’accueil (6 %), autre proche (6 %) et inconnu (2 %).
Cette tendance, universellement observée, a fini par s'imposer comme un a priori, donnantune orientation systématique, et parfois malheureuse, aux enquêtes menées sur les infanticides.
Christine Villemin ne sera pas la seule victime de la politique du usual suspect :
Australie: la disparition d'un bébé résolue 32 ans après
En 1980, Azaria Chamberlain, âgée de neuf semaines, avait disparu de la tente de ses parents, qui avaient accusé un dingo de l'avoir enlevée.
Mais la justice les avait condamnés pour infanticide (L'accusation affirme que Lindy a égorgé sa fille avant de dissimuler le cadavre pour s'en débarrasser plus tard. Lindy, enceinte de son quatrième enfant, est condamnée en 1982 à la perpétuité pour meurtre. Son mari Michael, considéré comme complice, écope d'une peine avec sursis.)
Elle a reconnu mardi la responsabilité de l'animal.
Mère infanticide, comment peut-on tuer son enfant?
Par Emmanuelle Courrèges
Marie Claire: Nombre de femmes infanticides ont déjà un ou plusieurs enfants. Ce sont des mères attentionnées et même tendres. Comment expliquer ce paradoxe ?
Sophie Marinopoulos: Même si on a déjà connu la maternité, à chaque grossesse, on est mère pour la première fois. Le présent va se heurter au passé. Je pense à une patiente dont la mère s'était suicidée avant qu'elle décide de mettre en route le petit dernier. Elle n'était évidemment pas dans le même état d'esprit que pour ses deux premiers. A six mois de grossesse, elle allait très mal, elle n'en voulait plus. Nous avons fini par comprendre qu'elle voulait faire revivre sa mère et non avoir un enfant.
...
La mère infanticide, une bonne mère?
Odile Verschoot: C'est la seule identité dont elles sont fières. En dehors de ça, elles ont le sentiment de ne pas être grand-chose. On les entend dire : « A part que je l'ai tué, j'étais bien comme parent. » C'est comme une sauvegarde narcissique. On peut les accuser d'être des meurtrières, mais pas des mauvaises mères. La seule chose qu'elles ont à peu près réussie, c'est d'arriver à faire grandir leur gamin, à ce qu'il mange équilibré ou qu'il ne se couche pas tard, comme c'est conseillé dans les magazines... Et personne d'ailleurs ne peut prouver le contraire ! En prison, elles s'écroulent. Elles ont tout fait pour être une mère parfaite... et on vient leur dire que le crime qu'elles ont commis ne va pas avec la « mère parfaite ».
« J'ai eu un enfant, mais on ne peut pas dire que cet enfant, le pauvre, est venu au bon moment et m'ait apporté ce qui me manquait, a-t-elle confié. Il me manquait beaucoup de soutien, il me manquait des parents, des gens qui m'aident à vivre. Je n'avais pas cela. Du reste, j'ai beaucoup de fois voulu supprimer ma vie car elle ne me convenait pas. »
...
« C'était comme une tumeur qui s'était nourrie de moi, que j'avais portée dans ma chair tuméfiée, n'attendant que le moment béni où l'on m'en débarrasserait enfin. Le cauchemar arrivé à son paroxysme, il fallait que j'assume à vie l'objet de mon malheur », avait-elle écrit au sujet de sa grossesse dans son autobiographie publiée en 1996.
Une étude* de la New York University School of Medicine s'est penchée sur le lien entre le syndrome de stress post-traumatique chez les jeunes mères et le risque de maltraitance de leur enfant.
La dépression maternelle augmente la maltraitance
Ils ont suivi un peu moins de cent mères ayant des enfants âgés de 3 à 5 ans et souffrant de dépression maternelle (à ne pas confondre avec le baby-blues qui survient dans les deux à trois jours suivant la naissance).
Il s'est avéré que les enfants de mères souffrant de syndrome de stress post-traumatique avaient près de cinq fois plus de risque d'être maltraités par rapport à ceux dont les mères étaient indemnes de de syndrome.
D'autre part, ces mères déprimées ont tendance à trouver, en général, les comportements parentaux violents comme normaux.
What Life’s Been Like in Prison for Susan Smith Over the Last 25 Years
Susan Leigh Vaughan Smith, née le 26 septembre 1971 à Union (Caroline du Sud), est une détenue américaine condamnée à une peine d'emprisonnement à perpétuité avec possibilité de libération conditionnelle après avoir purgé 30 ans de prison pour le meurtre de ses deux enfants, Michael, âgé de 3 ans, et Alexander, âgé de 14 mois1.
...
Le 25 octobre 1994, Smith a signalé à la police que son véhicule avait été volé par un homme à la peau noire qui était parti avec ses fils toujours à l'intérieur. Pendant neuf jours, elle a plaidé de façon dramatique à la télévision nationale pour leur sauvetage et leur retour. Cependant, à la suite d'une enquête intensive et de recherches au niveau national, elle a avoué le 3 novembre 1994 avoir laissé sa voiture rouler dans le lac voisin John D. Long6, les noyant à l'intérieur7. Sa motivation était apparemment de pouvoir entretenir une relation avec un homme riche de la région, alors même qu'il n'avait aucune intention de fonder une famille8.
Grèce : une mère déjà accusée du meurtre de sa fille désormais poursuivie pour triple infanticide
Après enquête, les procureurs ont ajouté à son encontre les charges de meurtres sur ses deux autres filles mortes en 2019 et en 2021.
Une Grecque, mise en examen et écrouée en avril à Athènes pour l’empoisonnement de sa fille aînée, est désormais poursuivie pour les meurtres de ses deux autres enfants, ont annoncé ce lundi les procureurs d’Athènes chargés de cette affaire surmédiatisée en Grèce.
Val-de-Marne : une femme en garde à vue après la découverte de deux bébés dans un congélateur.
Le 20 mars 2022 à 11h56
La découverte a eu lieu ce dimanche matin à Marolles-en-Brie, dans un quartier pavillonnaire de cette commune du Plateau Briard. Le compagnon de la trentenaire arrêtée est policier.
Double infanticide : une femme arrêtée après la mort de ses enfants de neuf mois et deux ans à Nancy
Publié le
Une femme a été arrêtée et placée en garde à vue mardi 16 février après la découverte du corps de ses enfants âgés de neuf mois et de deux ans et demi à Drouville, à côté de Nancy en Meurthe-et-Moselle.
Les enfants morts par étouffement ?
Plus tôt dans la journée, elle s'en était prise à son mari, le frappant à coups de marteau. Blessé, il s'est rendu à l'hôpital avant d'aller déclarer l'agression aux gendarmes. Lorsqu'il est rentré, son épouse n'était plus là. Elle serait allée chercher ses enfants à la crèche avant l'heure prévue, rapporte FranceInfo.
En début de soirée, elle serait revenue au domicile pour chercher une peluche et dire à son mari qu'il fallait enterrer l'enfant avec. Les gendarmes ont pu interpeller la femme, avant qu'elle ne tente de s'en prendre à elle-même. Ils ont également découvert à ce moment-là le corps des deux jeunes enfants dans la voiture.
La femme souffrait de troubles psychologiques et d'épisodes dépressifs et avait également des problèmes dans son couple, rapporte encore FranceInfo.
Elle avait étouffé ses filles : 28 ans de réclusion
2021/12/18 - L’avocate générale avait requis 30 de réclusion criminelle contre Jamila El Rhoufi, accusée du double assassinat de ses filles de 3 et 5 ans en juin 2018 à la caserne de Limonest. Les jurés ont retenu la préméditation, évidente pour l’accusation.
Elijah, 5 ans, tué par sa mère, qui le considérait comme le serial killer Ted Bundy
Le 23 novembre 2021
Tout est parti des messages d'une certaine Erika Wolfe, amie de Danielle Denise Dauphinais qui, sur Snapchat, se plaignait de son fils adolescent. La mère d'Elijah aurait ensuite à son tour parlé de son propre fils en disant : "C'est triste parce que j'ai aucune connexion avec cet enfant". Toujours selon le Boston Globe, Danielle Denise Dauphinais aurait été jusqu'à comparer son fils à Ted Bundy, violeur et serial killer des années 70 ayant fait plus d'une trentaine de victimes, et à Jeffrey Dahmer, un autre tueur en série américain. Le journal rapporte par ailleurs un autre morceau de conversation entre la mère de la victime et son amie. "C'est de pire en pire. Je veux qu'il s'en aille. Je ne le supporte plus. C'est un putain de cauchemar dont je ne me réveille pas".
La neurologue Monique Bertaud tue sa petite-fille : retour en 1992, sur un procès hors normes à Besançon
2021/08/26 - Le docteur Monique Bertaud a drogué Sarah, 9 ans, l’a tuée de trois coups de revolver en octobre 1992 avant d’avaler une boîte de Tranxène.
Étrange tragédie : un petit garçon retrouvé mort de froid devant chez lui
Le corps du petit Hakeem Hussain, 7 ans, a été découvert le 26 novembre 2017 à l'extérieur de sa maison. Sa mère, Laura Heath, 39 ans, a été mise en examen pour homicide involontaire.
Le drame remonte à 2017. À Birmingham, au Royaume-Uni, un petit garçon de 7 ans a été retrouvé mort après avoir été abandonné dans le froid glacial par sa mère. Malgré l'intervention des secours vers 7h30 du matin, le petit Hakeem Hussain n'a pas pu être réanimé. Il aurait souffert d'un arrêt cardiaque à quelques mètres de son domicile.
Quatre ans après les faits, Laura Heath, 39 ans, comparaît ce jeudi 16 juillet pour le meurtre de son fils. Elle est accusé d'homicide involontaire et de quatre chefs de cruauté envers un enfant.
Une mère force sa fille à enterrer sa petite sœur de 4 ans, tuée après une punition de 3 jours
Avant de mourir, la petite Miegellic «Jelli» Young aurait été forcée par sa mère à rester debout durant trois jours dans la buanderie pour la punir d’avoir sali son pantalon. Peu à peu affaiblie par ces journées de torture, son corps a fini par lâcher et elle est tombée contre la porte, se cognant la tête. La mère a tenté de la réanimer, en vain, a raconté la grande sœur de 13 ans à la police.
Après la mort de son enfant, la mère aurait mis le corps dans deux sacs poubelle en plastique noir cachés dans le coffre d'un SUV. Au bout de cinq jours, l’odeur est devenue tellement forte que Malikah Bennett se serait rendue dans une boutique pour acheter une pelle. Elle aurait ensuite creusé un trou et demandé à sa fille d’aller chercher le corps et de le placer dans la tombe, avant de la lui faire recouvrir de terre.
Woman suspected of killing son 10 years after she was convicted of trying to drown him as a baby
PORTERVILLE, Calif. - A woman is suspected of killing her 12-year-old son in California about 10 years after she was convicted of trying to drown him as a baby, according to sheriff’s officials...
the woman had taken her two sons, 7 and 12, to an irrigation ditch near a corn field across the street.
When deputies arrived, they found the boys unresponsive in the ditch. The deputies rendered medical aid and both children were taken to a hospital, where the 12-year-old died of his injuries, authorities said. His 7-year-old sibling was listed in critical condition.
Une mère de famille de Terville comparaissait mardi pour des faits de violence commis sur ses propres fils. Pendant quatre ans, tous les matins, ils ont subi coups, insultes et menaces. Avant qu’une caméra cachée ne dénonce enfin son odieux comportement.
Les faits se sont produits du 1er janvier 2014 au 1er juin 2018, à Terville. Du lever au moment de partir à l’école, deux frères vont subir quasi-quotidiennement la furie hallucinée de leur mère. Insultes (« bâtards », « pourritures », « branleurs », « merdeux », etc), menaces et coups portés à l’aide de n’importe quel objet lui passant sous les mains (sèche-cheveux, fer à repasser, brosse, jouets…). Sans oublier les gifles au visage, avec de lourdes bagues tant qu’à faire.
Au début de ces violences, le cadet avait un peu plus de 4 ans et l’aîné pas encore 6. À chaque fois, elles avaient lieu quand leur père n’était pas là. Ce dernier a finalement ouvert les yeux et décidé de dissimuler une caméra dans l’habitation.
Les images sont édifiantes. On la voit hurler sur ses enfants, leur asséner qu’ils ne sont « que de la merde… » Pensant provoquer un choc psychologique, le papa va montrer les images à son épouse, qui malheureusement va se complaire dans le déni. Il décide alors de quitter le domicile familial en emportant avec lui ses enfants. Il dépose également plainte auprès du commissariat.
Le tribunal a suivi les réquisitions de Christelle Dumont, procureur de la République de Thionville, et a condamné cette femme de 41 ans à une peine de 30 mois de prison assortis du sursis, avec obligation de soins. Elle devra également verser la somme de 1 500 € à chacun de ses enfants au titre du préjudice.
Double infanticide de Ronchamp : la mère condamnée à 25 ans de réclusion
Après 3 heures de délibération, les jurés des assises ont condamné la jeune femme de 28 ans. Par dépit amoureux, elle avait noyé ses deux enfants en mai 2013 à Ronchamp en Haute-Saône. Son avocate annonce qu'elle ne fera pas appel du verdict.
Yvelines : Un bébé de 11 mois sans surveillance chute du cinquième étage
DECESLe nourrisson est mort sur le coup
Un bébé de 11 mois est décédé ce jeudi à la suite d’ une chute du cinquième étage d’un immeuble à Versailles ( Yvelines), rapporte Le Parisien. Les parents du bébé étaient en train de faire le ménage dans leur appartement et avaient ouvert la fenêtre du salon pour aérer. « Ils ont tous les deux quitté la pièce principale pendant un instant et c’est à ce moment-là que le nourrisson a réussi à monter sur le canapé puis est tombé par la fenêtre »
Montpellier : une mère condamnée à 17 ans de réclusion criminelle pour la mort de son bébé
Une jeune femme de 27 ans a été condamnée à 17 ans de réclusion criminelle par la cour d'Assises de l'Hérault ce mercredi. Cette habitante de Béziers est accusée d'avoir provoqué la mort de son bébé de trois mois par maltraitance en 2019.
Accusée d'avoir tué deux de ses enfants dans un accident, une mère prend la fuite après leurs funérailles
Mary McCann, 35 ans, originaire de Derby en Angleterre, rentrait d'une fête avec ses enfants le 9 août dernier lorsque son véhicule a percuté une autre voiture sur l'autoroute. La fille aînée de la conductrice, 13 ans, était à Londres ce soir-là et la benjamine, âgée de 2 ans, s'en est sortie indemne mais les deux autres enfants, Smaller, 10 ans et Lilly, 4 ans, n'ont pas survécu.
Visée par deux plaintes stipulant qu'elle "a causé la mort par conduite dangereuse", Mary McCann devait être entendue devant la Cour d'assises d'Aylesbury ce vendredi 10 septembre, mais elle ne s'est jamais présentée à l'audition. Les procureurs, cités par le Daily Mail, ont déclaré ne pas savoir où se trouvait la jeune femme. "Malheureusement, nous ne savons pas où elle se trouve. Nous avons été informés par son avocat qu'ils n'avaient pas réussi à prendre contact avec l'accusée. L'adresse de sa caution était celle de sa sœur et elle n'y est pas", a indiqué la procureure Heather Stangoe ce vendredi, avant d'ajouter : "Sa plus jeune fille est avec la grand-mère et elle est en sécurité".
Lauren et son mari déménagent en Nouvelle-Zélande pour vivre leur vie de rêve: la mère tue ses trois filles
L’inspecteur en charge de cette triste affaire indique que « l’enquête sur cette tragédie n’en est qu’à ses débuts ». Scott Anderson ajoute : « Nous pouvons confirmer que personne d’autre n’est recherché pour la mort des trois enfants ».
Accusée du meurtre, Lauren garde le silence. Ses jumelles Karla et Maya étaient âgées de 2 ans. L’aînée Liane était quant à elle âgée de 6 ans.
Andrea Pia Yates (née le 2 juillet 1964) a tué le 20 juin 2001 ses cinq enfants en les noyant un par un dans la baignoire familiale dans le quartier de Clear Lake City, Houston, Texas .
Alors que son mari, Russel Yates, avait quitté le domicile au matin pour rejoindre son poste à la NASA, Andrea, ancienne infirmière, a appelé le 911 afin de demander de l'aide après avoir noyé ses enfants (Noah, 7ans, John, 5 ans, Paul, 3 ans, Luke, 2 ans et Mary, 6 mois).
C'est en découvrant le corps de Noah encore flottant dans la baignoire que l'ambulancier a compris qu'elle les avait noyés elle-même, un par un.
Une première sentence l'a condamnée en 2002 à la prison à perpétuité pour meurtre avec préméditation avec remise en liberté conditionnelle possible après 40 ans d'emprisonnement. En 2005, une cour d'appel a annulé la condamnation pour cause de faux témoignage de la part de l'un des témoins experts de l'État.
Son procès d'appel, daté du 26 juillet 2006, a abouti à un verdict de non-culpabilité pour cause d'aliénation mentale. Yates a été envoyée à l'hôpital d'État de Kerrville, un établissement de santé mentale, où elle se trouve encore aujourd'hui.
L'histoire d'Andrea Yates fut à l'origine de la très célèbre série Desperate Housewives. En effet, c'est en regardant son procès que le scénariste Marc Cherry eut l'idée d'un scénario explorant les parties visibles et cachées de la vie d'une mère au foyer.
Les bandes-dessinées du philosophe Reiser ont toujours su redonner aux enfants maltraités la force de résister par le soulagement du rire, de patiemment courber l'échine face à la perversité "d'autorités parentales" se soulageant de leurs frustrations sur ceux qu'elles sont censées protéger, menaçant de se suicider avec leurs enfants qu'elles traitent en otages dès qu'elles ressentent le besoin d'exercer un lâche chantage...
https://www.youtube.com/watch?v=z6yUmugsSBU
...abusant perversement de ceux condamnés à leur rester fidèlement attachés...
Au procès Marina, l'amour d'une fillette pour ses parents tortionnaires
L’horreur d’un côté, l’amour de l’autre. Une étonnante réalité a surgi de l’audience du jeudi 14 juin, dans le procès des parents tortionnaires de Marina. En diffusant l’audition filmée de la fillette, un an avant sa mort, la cour d’assises du Mans a donné à voir une enfant qui n’a jamais cessé d’aimer ses parents aujourd'hui accusés de l'avoir tuée. Et tout particulièrement sa mère.
...malheureuses victimes "ruminant" leur vengeance avant de passer à l'acte...
...le fil de nos actualités possèdent la même vertu thérapeutique que l'ironie reiserienne ;-)
15-06-2021
15 ans de prison pour avoir tué et mangé sa mère
En 2019, alors qu’il avait 26 ans, il avait étranglé sa mère et mangé certaines parties de son corps découpé en morceaux.
Début 2019, Alberto s’était disputé avec sa mère de 69 ans dans l’appartement qu’ils partageaient.
Après l’avoir étranglée, il avait traîné son corps dans sa chambre pour le découper avec une scie et deux couteaux de cuisine « afin de le faire disparaître », explique le parquet dans son acte d’accusation.
Des morceaux stockés dans le réfrigérateur
« Une fois le corps découpé en morceaux, l’accusé s’est nourri occasionnellement des restes du cadavre et a stocké d’autres morceaux dans plusieurs récipients en plastique dans l’appartement et dans le réfrigérateur »
L'horreur ! Un homme a avoué avoir "mangé une partie du corps" de sa mère
Le drame s'est déroulé dans la nuit du samedi 15 au dimanche 16 février 2020. Un homme, âgé de 36 ans, a reconnu avoir tué et découpé sa mère. En garde à vue, il aurait même avoué avoir "mangé une partie du corps" de la victime.
En fouillant dans l'appartement, les enquêteurs ont retrouvé des morceaux du corps de la victime dans le frigo, le congélateur et le four. Immédiatement, ils se demandent si l'homme n'aurait pas commencé à manger sa propre mère.
L’homme de 21 ans avait tué sa mère et mangé son utérus avant de s’étouffer avec
Le terrible fait divers Belge, celui du cannibale de Malines, a fait le tour du monde. En décembre 2008, Mikhail Bolshakov, 21 ans, assassinait sa mère Vera, 48 ans, avant de manger plusieurs de ses organes.
Le Niçois de 39 ans suspecté d'avoir tué, découpé et peut-être même mangé sa grand-mère à Nice, doit être examiné par des experts. Si son discernement était aboli au moment du crime, il n'y aura jamais de procès.
Argentine : il tue ses parents, viole le cadavre de son beau-père et le mange
Leandro Acosta est un Argentin de 25 ans. Il a avoué à la police le meurtre de son beau-père Rocardo Klein, 54 ans, et de sa mère Miryam Kowalczuk, 52 ans, en affirmant qu’il s’agissait d’une vengeance après des années d’abus sexuels.
Hong Kong : il avait fait cuire ses parents façon "barbecue"
Un Hongkongais a été condamné à la prison à perpétuité ce lundi 23 mars pour avoir tué, découpé en morceaux et fait cuire son père et sa mère. Il les avait préparés et conditionnés dans des boîtes avec du riz, comme du « porc au barbecue », une des spécialités culinaires de Hong Kong.
TAMPA — It took a jury a little more than an hour Thursday to find Joshua Carmona guilty of first-degree murder for beating his mother to death with a baseball bat on her birthday in 2017 at their Riverview home.
The panel of nine men and three women shunned defense arguments that the killing was something less than murder, ensuring that the 21-year-old will spend the rest of his life in prison.
Hillsborough Circuit Judge Christopher Sabella imposed the mandatory life sentence immediately after the verdict.
“This was a sad case,” Sabella told the defendant. “But I can add that it was a sad and troubling case, because I just don’t understand why. You were a successful high school student, an intelligent human being. And while I heard some explanations, they, frankly, didn’t make much sense.”
Tragedy in the family: When kids murder their parents.
By Kathleen M. Heide published September 1, 1992 - last reviewed on June 9, 2016
Between 1977 and 1986, more than 300 parents were killed each year by their own children.
An in-depth analysis of the FBI Supplementary Homicide Report for this period shows that, in the great majority of cases, the child who killed was a white male.
What kind of kid is capable of such an atrocity against a parent? What kind of a situation would lead to such a violent end? Looking beyond society's most alarming trend reveals society's most alarming undercurrent: These are neglected and abused children whose options are limited--children who honestly think they have no other way out.