L´ONU assure la paix dans le monde !
Le Nouvel Ordre Mondial de L'ONU :
Nathalie Yamb / La guerre de l’ONU contre l’Afrique
A quoi sert donc le machin, n'aurait-il été créé que pour assurer un cadre légal à la fondation de l'entité machin ?
Sans bien sûr évoquer une telle éventualité, en son temps, le président Sarkozy de feue la République, appelant à la création du Nouvel Ordre Mondial pour le brave nouveau siècle, avait minutieusement démontré l'immense utilité de la pieuvre onusienne:
http://www.nouvelordremondial.cc/2007/09/26/sarkozy-veut-un-nouvel-ordre-mondial-pour-le-21eme-siecle/
L'ONU nous a sauvés de WWW III...
...on a eu chaud...
http://vidberg.blog.lemonde.fr/2009/01
L'optimisme éhonté de ce négationnisme historique (la guerre mondiale n'a pas lieu !) avait bien fait rire le Quid de Mémé. A la rubrique " conflits depuis 1945 " on trouve :
Conflits interétatiques.
Algérie-Maroc : 1963 pour Tindouf. Azerbaïdjan-Arménie : 1991-92 pour l'enclave arménienne du Haut-Karabakh en Azerbaïdjan. Chine-Chine nationaliste : 1949, Quemoy-Matsu ; -Tibet : 1950-51 ; -URSS : 1969, Oussouri ; -Viêt Nam : 1979, 50 000 †. Corée du Nord (aidée par la Chine) ; -du Sud (par les forces de l'Onu) 1950-1953. Éthiopie-Érythrée : 1998-2000. Grande-Bretagne-Argentine : 1982, Falkland. Grèce-Turquie : 1974, Chypre. Guatemala-Honduras : 1954, opération CIA. Inde-Chine : 1962, Ladakh ; 1962, Assam ; -Pakistan : 1947-49 ; 1965 ; 1971-72, Bangladesh, 600 000 † ; 1999 (Cachemire). Indonésie-Malaisie : 1963, Sarawak, Bornéo ; -Timor Oriental : 1976, annexion par l'Indonésie. Iran-Iraq : 1980-88, 1 000 000 de †. Iraq : guerre du Golfe : 17-1/28-2-1991, 29 nations engagées contre l'Iraq qui refuse de se retirer du Koweït (envahi le 2-8-1990) ; 20-3-2003/ ? 2de guerre (2003, voir à l'Index). Israël-Liban : 1982-88 ; israélo-arabe : 1948-49 ; 1967 ; 1973 ; israélo-égyptien : 1956. Kosovo : 1999, pour sanctionner le non-respect des accords de Rambouillet, coalition de l'Otan tente de pousser le Pt serbe Milosevic à se retirer. Libye-Égypte : 1977 (21/24-7) ; conflit frontalier. Ouganda-Tanzanie : 1978. Pays-Bas-Indonésie : 1960-62, Irian. Salvador-Honduras : 1969. Slovénie : 1991, contre armée fédérale yougoslave. Somalie-Éthiopie : 1977-78. Syrie-Liban : 1976, occupation. Viêt Nam : 1965-73, intervention massive des États-Unis. Viêt Nam-Cambodge : 1978. Yémen du Nord-Yémen du Sud : 1979, 1994.
Angola : sud-africaine, zaïroise et surtout cubaine, 1975-76 ; sud-africaine, 1980-88. Cambodge : américaine, 1970. Centrafricaine (Rép.) : française, 1979. Chypre : turque, 1974. Cuba [Playa Girón (baie des Cochons)] : américaine, 1961. Djibouti : française, 1976-77, 1991. Égypte (Suez) : franco-anglaise, 1956. Éthiopie : cubaine, 1977-78. Gabon : française, 1964. Golfe Persique : navale occidentale, 1986-87. Grenade : américaine 87 †, 1983. Hongrie (Budapest) : soviétique, 1956. Jordanie : forces royales contre l'OLP, 1970. Kurdistân : turque, 1991-92. Liban : américaine, 1958. Libéria : sierra-léonaise et ghanéenne, 1991. Libye : raid aérien américain, 1985. Mauritanie : française, 1961. Ouganda, Kenya, Tanzanie : britannique, 1964. Ouganda : tanzanienne, 1979. Panamá : américaine 539 (à 4 000 ?) †, 1989. Portugal [Goa (possession portugaise)] : indienne, 1961. St-Domingue : américaine, 1965. Sénégambie (Gambie) : sénégalaise, 1980. Soudan : iranienne (aide aux intégristes), 1991. Sri Lanka : indienne contre les Tamouls, depuis 1983. Tchécoslovaquie (Prague) : soviétique, 1968. Tchad : française, 1968-91 (à 3 reprises) ; libyenne, 1980 à 87. Tunisie (Bizerte) : française, 1961. Zaïre : belge, 1961 et 64 ; Shaba, marocaine et française, 1977 ; Kolwezi, française, 1978. Interventions Onu, Otan :
Mouvements de libération pour l'indépendance, dirigés contre une domination ou une occupation étrangère.
Afghanistan : 1979-89 contre l'occupation soviétique. Angola : 1961-74, Portugal. Bosnie-Herzégovine : 1992-96, armée serbe. Cambodge : Kampuchéa, 1979-89, le régime mis en place par le Viêt Nam. Cameroun : 1957-60, France. Chypre : 1955-59, G.-B. Érythrée : 1973-93, reconnaissance de l'indépendance. Éthiopie : le Tigré. Guinée-Bissau : 1963-74, Portugal. Indonésie : 1946-49, Pays-Bas. Kenya (insurrection mau-mau) : 1952-56, G.-B. Laos : Pathet Lao 1946-54, France. Malaisie : 1948-57, G.-B. Maroc : troubles, 1953-56, France. Mozambique : 1964-74, Portugal. Namibie : 1970-90, Afr. du Sud, 20 000 †. Palestine : mouvement sioniste 1945-48, G.-B. ; 1965-93, Israël surtout à partir de 1967. Rhodésie (Zimbabwe) : 1972-79, domination blanche rhodésienne. Sahara occidental : depuis 1975, Espagne/Maroc, puis Sahraouis/Maroc. Timor occidental : 1974-99, Indonésie, 100 000 à 300 000 †. Tunisie : troubles, 1952-56, France. Viêt Nam : guerre d'Indochine, 1946-54, France. Yémen du Sud : 1963-67, G.-B. Zaïre (alors Congo belge) : troubles, 1958-60.
Kim Phuc Phan Thi, "la fille au napalm", photographiée par Huýnh Công Út le 8 juin 1972
Algérie : 1954-62 contre la France. Azerbaïdjan : Haut-Karabakh (enclave arménienne), 1988. Bosnie-Herzégovine : Musulmans, Croates, Serbes, 1991-96. Burundi : Hutus contre Tutsis, depuis 1991. Cabinda : « annexé » par l'Angola, 1975. Chypre : 1974-75, partition. Espagne : Basques, 1975-81. Éthiopie : Érythrée, 1961 ; Ogaden, 1974-88 ; maquisards tigréens. Géorgie : depuis 1992, rébellion Abkhazes, Ossètes. Inde : Hyderabad 1948, résistance à l'incorporation à l'Inde ; Nagas 1965-72 ; Sikhs, 1983-88 Cachemire. Indonésie : Sud-Moluques 1950-52. Iran : Azerbaïdjan et république kurde de Mahabad, 1946 ; Kurdes, 1978. Iraq : Kurdes, 1961-70 et 1974-75, 1979, depuis 1991. Moldavie-République du Dniestr : 1992. Myanmar (ex-Birmanie) : Karens, Kachins, depuis 1947. Nigéria : Biafra, 1967-70, 1 000 000 de †. Ouzbékistan : 1989, conflits Ouzbek/Meshkètes. Pakistan : Baloutches, 1973-77. Philippines : musulmans, depuis 1972. Royaume-Uni : Irlande du Nord, 1973. Russie : Tchétchénie depuis 1989. Sénégal : 1990, Casamance. Somalie : 1985. Sri Lanka : Tamouls, depuis 1984 110 000 †. Soudan : Sud-Soudan, 1966-72. 1982, 1990-95, 550 000 †. Tibet : Chine, 1955-59, 1987. Turquie : Kurdes, 1984. Ex-Yougoslavie : depuis 1987 ; Kosovo 1992-95. Zaïre : Katanga, 1960-64.
Guerres civiles pour un changement de régime.
Afghanistan : 1978-79, reprise en 1988-95, 1 500 000 †. Afrique du Sud : ANC (Noirs pour l'abolition de l'apartheid) 1965-92, luttes ANC-Zoulous. Algérie : depuis 1987-90. Angola : Unita, depuis 1975, aide de l'Afr. du Sud puis des USA, 500 000 †. Argentine : 1973-78, 15 000 † (+ 30 000 disparus). Bolivie : 1952. Brésil : 1964-70. Burundi : 1972. Cambodge : 1960-65 ; 1966-75, 1978-91, 3 à 5 millions de †. Chili : 1973, répression militaire. Chine : 1945-49. Chypre : 1963-64, intervention Onu. Colombie : 1953, état chronique. Congo (ex-Zaïre) : 1996-97. Cuba : 1956-59. Djibouti : 1991-92, Afars/troupes gouvernementales. Grèce : 1947-49. Guatemala : 1961-68, 1980-94, 20 000 †. Indonésie : Sumatra 1957-58, 1965-66. Iran : 1978-79. Irlande du Nord : catholique, 1968-95. Laos : 1960-75. Liban : 1975-91, 150 000 †. Libéria : 1990-96. Malaisie : sporadique, 1958 à 82. Mozambique : Renamo, 1973-sept., aide Afr. du Sud, 900 000 †. Myanmar (ex-Birmanie) : 1973-1991. Népal : depuis 1996, guérilla maoïste. Nicaragua : 1972-79-90. Oman : Dhofar, 1963-64, 1968-76 avec intervention britannique, iranienne et jordanienne. Pérou : 1965, 82, 88, 90, 30 000 †. Philippines : Huks, 1949-52 ; nouvelle armée populaire 1980, 88. Rwanda : 1962-63 ; 1990, entre Tutsis et Hutus (au pouvoir), 300 000 † (?) ; 1994, 1 500 000 † (?). Salvador : 1973-92, 80 000 †. Sierra Leone : depuis 1991. Somalie : 1991. Tadjikistan : 1990, 4 000 †. Tchad : 1965-82. Thaïlande : sporadique jusqu'en 1991. Turquie : 1979-80, 3 000 †. Uruguay : 1965-73. Venezuela : 1962-67. Sud-Viêt Nam : 1957-64 ; 1973-75. Yémen du Nord : 1962-67, avec intervention égyptienne, 1995.
Estimations des pertes humaines dues à la guerre (selon Lacina and Gleditsch et, entre parenthèses, selon l'OMS). 1998 : 97 893 (588 000) ; 99 : 134 242 (269 000) ; 2000 : 99 536 (235 000) ; 01 : 42 068 (230 000) ; 02 : 19 368 (172 000).
Pays engagés dans le plus grand nombre de conflits internationaux (1946-2003). G.-B. 21, France 19, USA 16, URSS/Russie 9, Australie, P.-B. 7, Chine, Égypte, Israël, Thaïlande 6.
...Les rédacteurs du QUID semblent prudemment minimiser leurs chiffres. John Pilger dénombre par exemple 72 interventions internationales des Etats-Unis depuis WW II :
Breaking The Silence: Truth And Lies In The War On Terror (2003)
Afghanistan, Angola, Albanie, Brésil, Bolivie, Guyane britannique, Bulgarie, Cambodge, Chili, Chine, Congo, Costa Rica, Cuba, République dominicaine, Equateur, Salvador, Ghana, Grèce, Grenade, Guatemala, Haïti, Indonésie, Iran, Irak, Italie, Jamaïque, Corée, Laos Liban, Libye, Maroc, Nicaragua, Panama, Perou, Philippines, Uruguay, Seychelles, Somalie, Surinam, Syrie, Yougoslavie, Zaire...
Ces interventions directes ou indirectes ont consisté à renverser les gouvernements, manipuler les élections, attaquer les mouvements populaires...
...Évolution du nombre de conflits dans le monde (en 2003, entre parenthèses en 2004 et, en italique, négociations en 2004, source : Institut Heidelberg. Total : 235 (230) 70 ; conflits latents 74 (77) 16 ; ouverts : 71 (66) 13 ; crises : 54 (51) 7 ; crises sévères : 23 (33) 28 ; guerres : 13 (3) 6.
Nombre de conflits armés et violences contre les civils (en 2003, source : Human Security Report 2005). Total : 89 dont Afrique 46, Asie 29, Moyen-Orient 8, Amériques 4, Europe 2.
Nombre de pays touchés par des violences politiques (en 2003, source : Human Security Report 2005). Total : 29 dont Afrique 13, Asie 9, Moyen-Orient 4, Amériques 2, Europe 1.
http://www.quid.fr/2007/Defense_Nationale/Conflits_Depuis_1945/1
Les principaux conflits des années 1990
Philippe Rekacewicz — janvier 2000
http://www.monde-diplomatique.fr/cartes/conflitsmdv49
Même cette reproduction de mauvaise qualité de la carte établie par P. Rekacewicz permet de se donner une idée de l'ampleur du phénomène...
... à l'image de la pieuvre ...
mondial !
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Depuis 1993 et sa première mission, l’ONU prend grand soin de la République d’Haïti..."La Mission des Nations Unies pour la Stabilisation en Haïti (MINUSTAH) a été établie le 1er juin 2004. Son mandat consiste à assurer un climat sûr et stable, à appuyer le processus politique en cours, à assister le Gouvernement.
http://www.un.org/fr/peacekeeping/missions/minustah
Mission de "stabilisation"...hmm... autant dire "programme de destruction systématique des Républiques"...
Le Séisme de Haïti Provoqué Par Une Arme Américaine
Ajoutée le 13 déc. 2012 par Compere Marvens
...?
Le , soit neuf mois après le séisme, le président haïtien René Préval annonce que la grave épidémie de diarrhée qui sévit dans la région de l'Artibonite est causée par le choléra1. Aucun cas n'avait été diagnostiqué dans le pays depuis plus d'un siècle2.
En , des incidents éclatent entre une partie de la population et les casques bleus de la Minustah. Les manifestants accusent ces derniers de mal gérer l'épidémie et de la répandre dans le pays3. Un nouveau contingent de casques bleus, originaires du Népal, est en effet arrivé en Haïti quatre jours avant l'apparition des premiers cas, survenus à proximité de leur camp4.
À partir de 2011, plusieurs études appuient la thèse d'une importation du choléra sur l'île par le contingent des casques bleus népalais, porteurs sains de la maladie5,6. Ces études sont génomiques (identité du vibrion en Haïti avec celui d'une épidémie en cours au Népal)7, ou épidémiologiques (modèle compatible avec le camp militaire comme source originelle)8.
Les soldats avaient eu une visite d’aptitude dans leur pays, mais sans recherche d'éventuels germes du choléra, malgré l'épidémie népalaise de l'époque. On ne sait pas ce qui s’est passé exactement dans leur camp en Haïti, mais il s'avère que les latrines se déversaient directement dans une petite rivière qui alimentait le fleuve Artibonite9. Soit il s'agit d'individus asymptomatiques contaminant à leur insu, soit l'épidémie a débuté dans le camp lui-même, et auquel cas, le déversement est une faute grave10.
Cette contamination massive des eaux explique le caractère explosif de l’épidémie dans un territoire désorganisé : installations sanitaires inexistantes ou défaillantes, déplacement incessant des populations (1,5 million de sans-abris) dans un contexte de séisme et de pluies diluviennes9.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pid%C3%A9mie_de_chol%C3%A9ra_en_Ha%C3%AFti
L’ONU admet sa responsabilité dans l’épidémie de choléra en Haïti
Les Nations unies niaient jusqu’à présent être à l’origine de la maladie, qui a causé près de 10 000 décès depuis octobre 2010.
Du bout des lèvres, les Nations unies reconnaissent leur implication dans la terrible épidémie de choléra qui frappe Haïti. La contamination a causé près de 10 000 morts depuis l’arrivée de la bactérie dans le pays, en 2010, et elle a rendu malades 800 000 personnes. Voilà six ans que des casques bleus sont accusés de l’avoir apportée avec eux du Népal, ce que l’institution internationale s’est obstinée à nier jusqu’à présent.
https://www.lemonde.fr/planete/article/2016/08/19/l-onu-admet-sa-responsabilite-dans-l-epidemie-de-cholera-en-haiti_4985249_3244.html
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Cette incessante paix mondiale assassine les pères et les grands frères, violent les mères et les soeurs, réduit en esclave sexuel des armées d'orphelins miséreux:
http://www.dailymotion.com/video/x5no56_lonu-encourage-les-pedophiles_news
http://edition.cnn.com/2008/WORLD/europe/05/27/charity.aidworkers/?imw=Y&iref=mpstoryemail
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Première mise en ligne : 14/02/2010
Dernière mise à jour : 06/02/2023 20:02 CET