Les Juifs dominent le monde !
31/12/2012 - 01:32 CET
L’hypothèse générale d’une diplomatie post-9/11 suppose la formation d’une union des Républiques comme seul moyen efficace de contrecarrer le plan de mise en place d’un NWO parfaitement identifié depuis ces énigmatiques attentats du 11 septembre 2001 (9/11) qui avaient pris pour cible la République nord américaine.
Une fois bue la fable de l’ectoplasme ben Laden, ne restait plus qu’à identifier les « fanatiques du pouvoir » s’affairant en coulisse.
Les aléas de l’actualité contemporaine ont permis à certains commentateurs (Eric Hufschmid notamment) de désigner très rapidement l’Etat d’Israël et l’idéologie sioniste comme responsables de ces attentats qui furent le prétexte à lancer une série de guerres préventives dans le proche et moyen-orient. L’affaire des 5 Israéliens dansants, de scabreuses déclarations du premier ministre Benjamin Netanyahu, les affirmations du militaire américain Alan Saborsky ou encore les prises de positions hystériques de l’inquisition médiatique assimilant les Seekers à des « négationnistes », sont autant d’éléments venant indiquer, qu’après tout, les Palestiniens et les antisémites, par simple jeu de hasard, avaient peut être raison.
Sauf qu’il est consciemment et stratégiquement dans l’intérêt de l’Etat d’Israël de convaincre à la fois ses adversaires et ses alliés, qu’il serait un Etat suffisamment omnipotent pour être responsable de tout et de n’importe quoi. Inspirant ainsi à tout à chacun une incontrôlable frayeur et un ravageur sentiment d’impuissance. La position diplomatique de « l’ambiguïté nucléaire » est particulièrement exemplaire de cette stratégie israélienne.
De plus, l’entité machin, ne peut au mieux que passer pour un aléa de l’actualité contemporaine depuis 1948. Elle ne saurait en rien constituer une force explicative de la nécessité d’un phénomène historique dont la saisie ne peut faire l’économie de la plus vaste et la plus synthétique vue possible. Les événements historiques s’expliquent d’abord par la phylogenèse des acteurs. L’analyse éthologique détaillée met en avant une lutte des individus, des clans, l’approximation de la lutte des classes suffira en grande partie au propos de ce post.
Bref, identifier la cible du 9/11 sans se contenter de vagues pulsions nationalistes, revenait à désigner les coupables. Face au « new Pearl Harbour » et à ses nouveaux dangers, s’érigeait un adversaire résolument déterminé à garantir sa légitime défense. C’est ainsi que naquit le groupe Shanghai 5. Bien plus qu’une simple union militaire, cette alliance originale des Républiques eurasiennes matérialise une nouvelle lutte des classes opposant aux nations (prolétariats et bourgeoisies) une troisième classe antagoniste naturellement internationale, la « noblesse » tel qu’elle se définit depuis Waterloo et l’anoblissement des banquiers internationaux.
Certes, l’entité de Rothschild peut passer pour un bras armé de cette nouvelle classe aux machinations de plus en plus transparentes, mais il serait sans doute bien naïf de croire le bandit manchot. Elle s’appuie de fait sur tous les Etats dont elle a pris le contrôle grâce au système de l’endettement public par le vol de la création monétaire…dont la République nord américaine depuis 1913.
Ainsi donc, les relations de plus en plus tendues entre Moscou et Washington ne s’expliquent pas, du point de vue de l’idéologie de la République, par un antagonisme des nations et des chauvinismes. Dedefensa.org est très précis sur le sujet :
« La Douma a un poids de plus en plus important et un poids qu’elle entend manifester de façon autonome, comme cela se fait dans les grandes démocraties majeures où le système législatif a une place de choix. A cet égard, elle fonctionne effectivement comme le Congrès et les deux systèmes tendant à se rejoindre, d’une façon étonnamment paradoxale pour ceux qui opposent les USA et la Russie comme on oppose l’archétype de la démocratie à celui de la dictature. »
Et dans ce cas encore, l’entité de Rothschild et ses intermédiaires de l’AIPAC se résument à de simples moyens servant des enjeux les dépassant largement, et ce du simple fait que ses enjeux restent esentiellement transversaux et transcendent une problématique nationaliste trop simplifiée.
Malheureusement, en attendant que la prise de conscience des luttes et des antagonismes ne touche une majorité d’esprits, les larbins en communication des nazis qui nous gouvernent ne cesseront leurs aboiements chauvinistes et mythologiques.
La conclusion de dedefenda.org concernant les relations entre Moscou et Washington s’avère très opportune dans l’immédiat de nos actualités…malgré son pessimisme…
« La situation des rapports des deux puissances risque donc de devenir encore plus délicate, encore plus fragile et vulnérable qu’elle n’était au temps de la Guerre froide. »
http://www.dedefensa.org/article-usa-russie_de_pire_en_pire_et_d_mocratiquement__31_12_2012.html
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Une affirmation, qu’on a entendue également avancée péremptoirement par un des porte-paroles de cette thèse qui voudrait que les Juifs dominent le monde, suppose que si ces derniers étaient victimes de pogroms, et bien ma bonne dame, c’est sans doute pour la raison qu’ils l’avaient bien cherché !
A lire La civilisation de l’occident médiéval de Jacques Legoff (à partir de la page 352), il se dégage une image beaucoup plus précise d’un système de domination pour le moins brutal et pervers basé sur l’exclusion des « parias » et l’interdiction qui leur est faite de participer à la vie économique normale.
Puisque par volonté du prince et du Vatican, les « parias » Juifs, jongleurs, vagabonds ou lépreux, étaient par définition voués à l’enfer, ils pouvaient donc, sans que cela puisse changer grand chose à leur salut, s’adonner à toutes les activités considérées comme péché capital, dont l’usure.
Et même, exclus des activités économiques, ils ne leur restait guère plus que cette dernière activité pour survivre. Dans le même temps, leur statut d’exclu leur empêchait de dépenser normalement les bénéfices engendrés par leur activité d’usure. Ils amassaient donc un trésor que le prince et le pape venaient récupérer à chaque fois qu’ils avaient besoin de financer une nouvelle croisade.
Ainsi donc, chaque croisade commence par un pogrom local...
Dernière mise à jour : 26/08/2014, 16:11 CET