Après la dissolution des souverainetés et des Républiques dans de vagues identités multipolaires, l’étape suivante, telle qu’elle est décrite par les exégètes de l’agenda globaliste, consiste en la fondation d’une entité politique mondiale.
Herman van nous avait prévenu :
Bilderberger Herman Van Rompuy (EU President): Global Governance Begins
With G20 & Copenhage Treaty
L’ultime victime de cette histoire…comme d’habitude…le Citoyen et sa souveraine liberté.
Radio Paris et les larbins des nazis qui nous gouvernent nous raconteront que tout cela n’est que fables conspirationnistes.
Seulement...
Voila que, sous prétexte de sauver l’humanité de son auto-destruction, l’administration onusienne (usant d'une structure spécifique préalablement établie par la bande d'Al-Carbone lors de la fameuse fraude informatique du bug de l'an 2000) a tenté de soumettre l’ensemble des Nations à un nouvel impôt universel. Ce droit de lever l’impôt, « la taxe carbone », n’aurait ni plus ni moins constitué le fondement d’un nouvel ordre politique mondial, tout comme le 17 juin 1789, l’Assemblée Nationale instaurait la nouvelle substance de la souveraineté républicaine en s’emparant du droit régalien de la création monétaire et de la collecte de l’impôt, combien de temps pour comprendre encore que :.
"La création monétaire est une simple double écriture au bilan d'une banque commerciale."
...à l’annonce de ce non-accord sur presque rien signé du bout du stylo par les États participants à la conférence de l’ONU. Douze petits paragraphes n’engageant à pas grand-chose. La taxe carbone mondiale, destinée à financer une Organisation Mondiale de l’Environnement, n'aura pas été instaurée. Les nations souveraines peuvent y cotiser mais la démarche reste volontaire:
"Le sommet de Copenhague s'est conclu sur un accord a minima scellé par les Etats-Unis et les grands pays émergents - Chine, Inde, Brésil et Afrique du Sud. Seuls 28 pays l'ont accepté, les autres en ont seulement "pris note"."
Voila pour l’hypothèse d’un échec du coup d’État fomenté contre les finances mondiales. Un lapsus ( ?) du président de feue la République abonderait en ce sens :
« La question du qui va payer, et du comment reste entière. Un comité d’experts va être créé pour enterrer la question, pardon pour trouver des financements innovants»
Voila, en réalité, derrière cet échec annoncé en fanfare par un opportun climategate, bien de quoi raviver les craintes les plus aiguës. Méfions nous d’abord des lapsus peaufinés par les plans com. Surtout, force est de constater que cet accord à minima du COP 15 n’en crée pas moins une nouvelle structure administrative. Chargée d’imaginer des « financements innovants, » elle collectera donc des fonds “from a wide variety of sources, public and private, lateral and multilateral” :
Copenhagen Accord Establishes Global Government Framework
Voila donc l’histoire empilant les déjà-vus. Et une demie victoire peut bien se changer en défaite annoncée. Lord Monckton, lors d’une interview accordée à TVR, rappelle que l’Union Européenne prit d’abord la forme d’une administration de faible ampleur. Chargée dans un premier temps d’une meilleure gestion de la production et de la circulation de l’acier et du charbon, elle devint au fil du temps, telle une tique se gavant indéfiniment du sang de ses victimes, ce monstre totalitaire des commissaires d’aujourd’hui :
Et voila les portevoix globalistes venant ouvertement confirmer l’analyse de Lord Monckton, décrivant l’accord enterriné à la conférence de Copenhague comme une première étape d’un plan de plus vaste envergure:
Climat: l'accord de Copenhague, première "étape essentielle"
COPENHAGUE - L'accord de Copenhague contre le réchauffement climatique, validé samedi par la conférence des Nations unies, constitue une première "étape essentielle", a estimé le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon.
Voila, pour conclure, venir le temps, à l’école d’Alex Jones, d’user du paradigme Problème – Réaction – Solution et d’imaginer une tragédie en trois actes qui aurait pu prendre place au Royaume du Danemark :
1) Le pouvoir crée ou exploite un problème et en fait porter à d’autres la responsabilité:
Le réchauffement climatique et l’échec du COP 15 à sauver la planète...
Grâce à des fuites internes donnant lieu au Climategate, le système organise lui-même cet échec.
2) Le peuple affolé exige du pouvoir une réponse en action (une réforme de l'ONU) qui lui garantira plus de sécurité ou même sa simple survie : Nicolas Sarkozy:« Le processus onusien qui consiste à ne jamais voter, à décider par consensus et à rester une organisation comme on l’était au XXème siècle, a clairement prouvé ses limites.» Chantal Jouanno:« Mais toucher à la souveraineté des pays avec un système de décision à l’unanimité, c’est presque impossible. »
3) Le pouvoir propose au Citoyen un contrat léonin l’engageant à aliéner davantage sa liberté et sa souveraineté:
Bettina Laville: « C'est un véritable gouvernement du monde dont la planète a besoin. »
Voila que sur l’horloge de la dialectique jonesienne, le premier coup aurait déjà sonné...
Le plus haut responsable de l'ONU pour le climat jette l'éponge en pleine tourmente
(AFP) – 18/02/2010
PARIS — Deux mois après la déconvenue du sommet de Copenhague, Yvo de Boer, plus haut responsable de l'ONU chargé du climat, a annoncé sa démission, au moment où les négociations patinent et où les experts du climat sont dans la tourmente.
